Après la mort de l'inspecteur Filippo Raciti

Malgré l'autre année du contrat, les rues de Montella et de Catane prennent des directions différentes : l'avion survole Florence, comme Mihajlovic l'avait fait deux ans plus tôt. Olghe reste un observateur privilégié et, en attendant, il est rentré en Espagne en mars : « Nous avons fait une publicité avec Adidas, sponsor du Real ». L'arrière latéral de Delia est l'auteur du but qui entame une autre victoire de retour à domicile : le Napoli du fischiatissimo Mascara est battu 2-1. Le moment magique, composé de six résultats utiles d'affilée, a cependant été interrompu, entre novembre et début décembre, par des défaites face à Milan (4-0 à San Siro) et par trois dégringolades internes face au Chievo, Cagliari et – en Coppa Italie – Novare. Exemptés du rodage estival classique de la Coupe d'Italie, en raison de leur placement en championnat la saison précédente qui reporte l'entrée dans l'épreuve au troisième tour de qualification prévu fin octobre, les joueurs de l'Etna s'autorisent une pré- saison riche en matches amicaux internationaux : après les défaites contre l'Olympique de Marseille et l'Atlhetic Bilbao suit la victoire (4-2) au « Massimino » face à l'équipe B de l'Espagnol Villareal (dans laquelle brille un jeune Iago Falque). En décembre, cependant, les choses se compliquent avec les deux lourdes défaites contre la Juventus (1-3 contre « Massimino ») et Cagliari (qui l'emporte avec trois claques de Nené contre « Sant'Elia », avec des invités réduits à 9 en raison de la expulsions infligées à Martinho et Morimoto).

À Gênes, cependant, en milieu de semaine, une nette défaite 3-0 arrive. L'embarras ligure a été en partie racheté par la prestation convaincante à domicile face à la Juventus de Conte : 1-1 sous la pluie, avec le nul noir et blanc sur le flop de Krasic, aidé par l'indécision d'Andujar, et avec Suazo qui a failli marquer le but de la victoire en finale.. Cela commence le 11 septembre, avec le deuxième jour. Le succès dans le choc direct avec les Pouilles, la première victoire de Simeone sur le banc des Rossozzurri, est de l'or pur : après la 25e journée, ils ont quatre longueurs d'avance sur le gouffre. Le 12 mars, au « Massimino », dans une ambiance magique rendue unique par la pluie, l'Inter de José Mourinho débarque, premier de sa catégorie avec 4 points d'avance sur Milan et attendu quelques jours plus tard par Chelsea lors du match retour du huitième de finale. 16 de la Ligue des champions. SÉVILLE – L'Inter espère avoir trouvé un repreneur pour Gabigol, real sociedad maillot un Brésilien qui continue de faire parler de lui pour ses échecs et non pour ses buts sur le terrain. Trois jours plus tard, contre l'Inter de Leonardo à domicile, un but de Papu Gomez à moins de vingt minutes de la fin a trompé tout le monde. Pendant ce temps, le marché de la réparation se termine avec l'arrivée de quatre pions, un pour chaque département : dans le but Juan Pablo Carrizo, licencié de la Lazio destiné à hériter de la place laissée vacante par Andujar ; en défense l'arrière droit Marco Motta, capitaine « historique » de l'équipe des moins de 21 ans, propriété de la Juventus ; au milieu de terrain le Chilien Seymour de Gênes ; l'attaquant nigérian Ebagua de Turin (Serie B).

Le marché de la réparation 2011 parle aussi italien : Francesco Lodi arrive également de Campanie, récupéré par Pietro Lo Monaco à Frosinone dernier en cadetteria, avec l'intention de le transformer de milieu offensif en meneur de jeu, "à la Pirlo". Le réalisateur Lo Monaco pêche toujours en Amérique du Sud : un pari vient du Brésil, le jeune ailier gaucher Raphael Martinho, tandis que de « son » Argentine, pour 3 millions d'euros (versés à San Lorenzo), voici le vingt-deux ans l'ancien Alejandro Dario Gomez, un ailier offensif très rapide et d'une grande technique, surnommé "El Papu" à cause de ses 165 centimètres de hauteur. A mi-parcours, Mascara et ses coéquipiers sont troisièmes avant-derniers avec 15 points, à seulement un point de Bologne quatrième avant-dernier. Un coup de sifflet dont on discutera, pas seulement pour asseoir sa légitimité ou autre. Gabigol Betis Sevilla, nouvelle chance pour le Brésilien? De plus, les fans du Betis se sont réunis pour une minute de silence pour le joueur et lui ont rendu hommage avec des banderoles et des chants avant leur match de championnat le week-end suivant. Ce match soulève le soupçon que le Real pourrait être mieux défendu vers l'avant et avec des joueurs plus disciplinés tactiquement. Malgré la résistance de certains membres du conseil d'administration qui souhaiteraient confier le banc du Real à Guti, le président lui-même a choisi de confier les Madrilènes aux conseils de l'ancien entraîneur de la Juventus et de Chelsea.

Au moment de la reprise, il y a eu une bousculade entre Maiello et Barragan et l'arbitre Guida di Torre Annunziata a montré le carton rouge. Une semaine après avoir réalisé l'incroyable retour salutaire, Sinisa Mihajlovic salue et remercie tout le monde et accepte le court de la Fiorentina. Un autre cas de marché, relatif à l'éventuel transfert de Biagianti à Palerme, est résolu lors de la présentation de l'équipe à la ville au Palazzo degli Elefanti, qui anticipe le début du retrait : le PDG Lo Monaco annonce dans cette circonstance la permanence du numéro 27. Le "Malaka" Jorge Martinez est ainsi la seule pièce de valeur à quitter l'Etna, se déplaçant au tribunal de la Juventus pour 12 millions d'euros. Parmi les principales caractéristiques de cette méthode, nous trouvons certainement le fait qu'elle ne mène à la victoire que si vous parvenez à obtenir tous les bons résultats, mais une erreur est également autorisée. Une nouvelle finale de la DFB-Pokal est atteinte lors de l'édition 1972-1973, mais là encore ce sont les adversaires qui remportent la coupe. L'Epiphanie, en plus de toutes les festivités, enlève également la satisfaction de sortir indemne (et avec des points, mérités!) du Romanist Olimpico : les doublés de Borriello et Vucinic annulent le nul momentané 1-2 Catane signé par Silvestre et Maxi Lopez ; l'un des meilleurs matchs de Giampaolo a été gâché par deux oublis du juge de touche Musolino qui a validé deux buts irréguliers de l'équipe entraînée par Ranieri.